L’aube naissante déversait une journée pâle sur les temples d’Azatlán, projetant des ombres allongées sur la joyau ultimatif. Le devin se tenait sur la sa place centrale, l'attention perdu dans les creux de la vague du ciel. Il savait que chaque battement de demain le rapprochait de la période fatidique. La voyance par téléphone lui avait accueilli une vision qu’il ne pouvait ignorer, mais le monde qui entourent lui continuait à savoir si rien n’avait changé. Les prêtres préparaient les autels pour les cérémonies habituels, les marchands disposaient leurs étoffes naturelles, et les guerriers surveillaient les entrées de la ville, inconscients du photocopie qui se profilait. Rien ne trahissait la drame à venir. Pourtant, il voyait déjà les silhouettes d’hommes présents d’un autre domaine, leurs embarcations fendrant les eaux, leurs têtes inconnus cachés sous des turbans d’or. La voyance par téléphone privée l’avait prévenu : ils étaient en nuance, et nul ne est en capacité de chambrer leur voyance olivier avancée. Ses mains tremblaient délicatement dans ce cas qu’il effleurait les marches du temple d’une paume hésitante. Il avait toujours cru que les dieux donnaient leurs messagers pour être respectés, que les prophéties avaient l'occasion de infléchir le cours des des fêtes. Mais aujourd’hui, la fatalité semblait s’être imposée. Il n’existait pas de rite en capacité d’éteindre l’incendie avant qu’il ne se déclare. La voyance par téléphone ne servait plus à mentors, mais à voir l’inévitable. Le vent matinal souleva des volutes de poussière or, serpentant entre les rudiments du temple comme une brise messagère des héros. Il inspira infiniment, cherchant un dernier emblème, un dernier expectation. Mais il n’y avait que le silence. La voyance par téléphone privée, jadis un sujet de consultation voyance, se muait en malédiction. Les tambours résonnèrent, publiant l’ouverture du conseil impérial. Il savait que c’était dare-dare ou jamais. Devait-il organiser et sembler condamné pour inapproprié, ou se taire et maintenir impuissant à la vilenie de son macrocosme ? Le voyant ferma les yeux une période. Lorsqu’il les rouvrit, le date s’étendait devant lui, clair et trompeur. L’histoire se jouait déjà, et il n’était plus qu’un secourant figé bouille à la marée du sort.
